La petite lumière
C'est la petite lumière qui brille au fond du cœur...
Et nul au monde ne saurait l'éteindre.
Si ton coeur est brisé.. Malheureux.. Éperdu..
Si ta vie est triste.. Monotone… Sans saveur..
Si l'angoisse parfois et souvent te saisit…
La petite espérance est là… Au fond de ton coeur…
Qui va te permettre de remonter la pente.
Elle est le doux printemps qui surgit après l'hiver…
Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel.
Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages…
Si tu te crois sans force… Sans idée.. Sans espoir..
Tout au fond d'une impasse… Dans le noir d'un tunnel..
Si tu n'as plus le goût à rien…Ni même celui de vivre…
La petite espérance est encore là… Au fond de ton coeur….
Qui te donne du courage quand tout semble fini.
Elle est la goutte d'eau pure qui jaillit de la source…
Le bourgeon qui permet à l'arbre de reverdir…
La clarté du jour… Là-bas… Au bout de la nuit.
Merci d'être toujours là..
Ma petite espérance…
Tout au fond de mon coeur.
Ma merveilleuse lampe magique….
Où je puise tous mes rêves.
Toi, qui ne connais pas le mot fin.
Source: Anonyme
Essayez d'entendre.....
"Ne vous plaignez jamais d’être abandonné par le Ciel, car
chaque jour le Ciel vous parle, il vous envoie des messages, il
vous donne des réponses.
Alors, pourquoi ne les recevez-vous pas ?
Parce qu’ils arrivent d’un espace dont la matière
est extrêmement subtile et pour vous atteindre ils doivent
traverser toutes les couches opaques que vous avez accumulées
autour de vous ; ils subissent donc des déformations.
Comme un bâton que vous plongez dans un récipient d’eau aux parois transparentes :
regardez, à l’endroit précis où il pénètre dans l’eau, il semble brisé. Ce qui s’explique par
le fait que l’air et l’eau qui sont de densité différente,
n’ont pas le même indice de réfraction.
Il en est de même dans le plan psychique : plus les courants
du monde spirituel doivent descendre dans une matière dense,
plus ils subissent de déformations.
Pour les recevoir dans leur
vérité, il faut pouvoir s’élever par la pensée jusqu’au
monde subtil où ils ont leur origine.
Un cerveau épais ne peut pas recevoir les messages du Ciel, ou plus exactement il les reçoit déformés : c’est lui qui les déforme. Faites donc des efforts pour vous purifier, vous dépouiller, vous
ennoblir : alors seulement, vous recevrez du Ciel des réponses
claires, limpides, véridiques."
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Lettre à un ami des animaux.
C'est un texte que j'ai trouvé dans une ancienne revue. Je l'ai trouvé magnifique, je m'y suis retrouvée de bien des façons et j'ai eu envie de le partager avec vous
Cher M.,
Vous m'avez écrit pour me dire votre grande peine au sujet des souffrances des animaux. Nous sommes nombreux à ressentir le désir fervent de soulager les inutiles souffrances des bêtes et de mettre fin aux diverses formes de cruauté qui leur sont infligées par des humains ignorants, et par des hommes insensibles au cours d'expériences scientifiques, dans le fermage moderne, etc. Lorsque l'on entend parler de cruauté envers les bêtes, la première réaction est celle de la colère extrême devant l'atrocité des hommes qui osent offenser l'individualité, don de Dieu, d'une créature qui a droit à une existence joyeuse. On ne peut admettre que des méthodes qui ne s'accordent pas au Principe Chrétien puissent jamais produire un bien durable. Elles ne peuvent que créer de nouveaux problèmes, parce qu'elles n'ont pas leur source dans l'Amour divin, seul Principe fécond.
Cependant, si tout notre penser est dominé continuellement par la souffrance des animaux, nous ne pouvons qu'accroître la somme de cette souffrance dans le monde et cela n'est point non plus Chrétien. Je pense qu'exprimer la douleur, la colère ou le ressentiment n'aide personne et qu'il faut que nous traduisons ces émotions en quelque chose de positif, de constructif quelque chose qui puisse être vraiment une aide.
Je sais qu'il existe de nombreux organismes pour arrêter la cruauté envers les bêtes et que chacun doit faire ce qu'il se sent dirigé à accomplir en cette matière, mais avant tout, j'ai appris à être reconnaissant de ce que je sais qu'en Vérité, l'Amour prend soin de chaque créature, quelle que soit l'expérience qu'elle doit endurer. Je suis sûr que ce qui est sacré dans toute créature, sa conscience d'être individuelle « caché avec le Christ en Dieu ne peut être touchée par aucune intention mauvaise. Je me suis souvent dit :« Si l'amour n'aime pas à chaque instant chaque créature, il n'y a point d'Amour », mais au fond de mon cœur je sais que l'Amour existe et qu'il embrasse tous les êtres. Si je n'en vois point l'expression, c'est que je suis temporairement hypnotisé par une image mortelle complètement fausse, et qu'il faut que je permette à la Vérité de traduire cette image fausse si je veux aider ces créatures ici même et à présent à acquérir une réalisation plus complète de leur être véritable.
Il fut un temps où je me sentais désarmé devant ces problèmes, parce que je ne comprenais pas comment une pensée individuelle pouvait avoir quelque effet sur ce qui se passe dans le monde qui nous entoure ; mais maintenant que je commence à comprendre plus clairement le rapport de chaque idée juste avec le Principe qui la gouverne, je comprends que le fait d'accepter toute idée qui procède de Dieu a des effets prolongés, des effets qui vont au-delà des limites de nos concepts actuels. Ainsi je vois l'importance de ne pas éluder le fond des choses en entretenant des sentiments d'incapacité, car ce n'est pas à nous de faire agir une idée. Notre part consiste à maintenir fermement cette idée, le Principe divin fera le reste.
Lorsque, dans l'humilité, nous nous maintenons dans l'idée la plus haute que nous avons de Dieu, il nous est montré ce qui est vrai spirituellement dans la créature que nous voulons aider.
Si nous restons sur la vision mortelle, nous ne pouvons donner qu'une compassion inopérante, tandis que si nous portons notre regard sur l'expression véritable de l'oiseau, tel que Dieu le connaît, nous ne pouvons manquer de comprendre que les plumes et la chair ne peuvent être maîtresses de sa vie ni tourner en discorde l'harmonie. En réfléchissant aux moments où nous avons nous-même eu besoin d'aide pour surmonter un malaise physique, nous savons que lorsque quelqu'un a pu élever notre conscience d'être jusqu'à la réalisation de ce que Dieu nous connaît, nous avons été à même de répondre avec gratitude, alors que la compassion sans la vision juste nous aurait laissé déprimés et incapables de triompher de notre mal, ou de vaincre notre difficulté.
A un moment donné, la vue de tant d'oiseaux tués sur les routes faillit détruire mon penchant naturel pour la conduite automobile, surtout tôt le matin lorsque les oiseaux sont pleins d'activité. Je redoutais qu'un oiseau ne s'élançât au-devant de ma voiture sans que je puisse l'éviter. Un matin, un petit moineau fonça soudain d'un arbre sur la route et fut frappé par le châssis de ma voiture. Il gît, immobile sur la route. Je le relevai et le tins dans mes mains, lui parlant silencieusement de sa nature divine - donnée par Dieu - et qui ne pouvait être blessée. A ma grande joie, il ouvrit les yeux et sembla répondre à la vérité de son être. Pendant un certain temps, il ne bougea pas, ouvrant et fermant seulement ses yeux. Je restais, moi aussi, tranquille, aimant à réfléchir sur son être réel et je me sentis élevé. Bientôt l'oiseau se mit à se mouvoir dans ma main. Puis il sauta de droite à gauche sur la voiture et enfin il s'envola dans les champs.
Néanmoins, pendant des mois je demeurais dans l'angoisse ; je me demandais pourquoi les oiseaux volent bas en travers des routes alors qu'ils peuvent s'élancer hors du danger en volant haut. Puis, un jour, je compris l'inutilité de cette angoisse. Je me mis à réfléchir sur l'agilité spéciale que Dieu donne aux oiseaux, à leur habileté pour voler entre des branches serrées, pour changer rapidement leur course devant un obstacle inattendu. Depuis que j'ai consciemment rempli ma pensée de ces idées et de la vérité spirituelle qui est que tous les usagers de la route sont unis les uns aux autres par l'Amour, j'ai vu de nombreux oiseaux se retourner en plein vol pour éviter le trafic.
En apprenant à monter à cheval, j'ai aussi appris l'importance de maintenir fermement dans mon esprit les rapports spirituels. Bien souvent, il m'est arrivé malheur lorsque je me suis permis d'entretenir la crainte que mon cheval se conduirait de manière à ce que je ne puisse le maintenir ! Mais quand j'ai réussi à surmonter de telles craintes en maintenant avec amour la vérité : qu'il n'y a qu'un seul Entendement et que le cheval et moi nous sommes des expressions de cet unique Entendement, unies dans l'harmonie, la promenade a été parfaite dans un rythme partagé. Cette sorte d'expérience m'aide à comprendre que lorsque nous demeurons conscients des réalités spirituelles de la vie, les facteurs négatifs décroissent de plus en plus pour disparaître finalement.
Lorsque je réfléchis sur la nature véritable des hommes et des bêtes, j'aime à méditer la merveilleuse prophétie d'Esaïe :
Votre amie sincère, E.J.D.
Ideas of today
C'est quoi un homme intelligent?
Dites-moi, qu'est-ce qu'un homme intelligent ?
demanda le Maître.
Un érudit, répondit l'élève.
Oui, mais pas uniquement un érudit, dit le Maître.
Alors un homme bon, dit l'élève
.
Oui, mais pas uniquement bon,
dit le Maître.
Un homme intelligent est un homme bon et érudit,
dit l'élève.
Tu n'y es pas, dit le Maître.
Un homme intelligent est donc un homme qui met du silence dans la voie !
Pourquoi ? demanda l'élève.
Grâce au silence, on peut écouter battre le coeur de l'harmonie infinie.
Où trouve-t-on des hommes ainsi ?
demanda l'élève.
Partout où on ne les voit pas, répondit le Maître.
Comment est-ce possible ???
demanda l'élève.
L'intelligence est banale comme le bonheur.
L'exceptionnel est invisible comme le vent.
auteur inconnu
Rester inébranlable
La louange et le blâme,
Le gain et la perte,
Le plaisir et la douleur,
La gloire et la honte
Sont les huit vents mondains
Qui vont et viennent.
Telle la montagne
Imperturbable face au vent,
Le coeur du sage
Reste inébranlable
Face à tout ce qui arrive.
(Bouddha)
L'esprit est difficile à maitriser et instable. Il court où il veut.
Il est bon de le dominer. L'esprit dompté assure le bonheur.
(Bouddha)
Pour être heureux
Il ne faut que des fleurs
Un filtre de soleil
Et quelques graines de bonheur,
Le chant des oiseaux
Le toit d'une maison
Et la brise du vent
Pour être heureux.
Il faut s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour
Se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher.
Pour être heureux
Il faut regarder le ciel
En oubliant la terre
Fermer les yeux sur le passé
Pour les ouvrir sur le rêve..
Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux.
Pour être heureux
Entre nous… il nous faut si peu!
Auteur inconnu