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Roradat-Messages de sagesse

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Roradat-Messages de sagesse
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Namasté
Il m'arive de signer : Namasté, certaines personnes se trompent sur la signification de ce mot, aussi je vous  en donne sa signification : C'est mon âme qui salue ton âme. En toi, je salue cet espace où réside l’univers entier. En toi, je salue la lumière, l’amour, la beauté, la paix car toutes ces choses se trouvent aussi en moi, parce que nous partageons ces attributs, nous sommes reliés, nous sommes semblables, nous sommes Un.
Namasté.
11 janvier 2013

Je te souhaite

... à toi qui passeras ici...

 

 

668301996

 

 

 

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10 janvier 2013

Essayez d'entendre.....

Hebergeur d'image

 "Ne vous plaignez jamais d’être abandonné par le Ciel, car
chaque jour le Ciel vous parle, il vous envoie des messages, il
vous donne des réponses.

Alors, pourquoi ne les recevez-vous pas?

Parce qu’ils arrivent d’un espace dont la matière
est extrêmement subtile et pour vous atteindre ils doivent
traverser toutes les couches opaques que vous avez accumulées
autour de vous
; ils subissent donc des déformations.

Comme un bâton que vous plongez dans un récipient d’eau aux parois transparentes:

 regardez, à l’endroit précis où il pénètre dans l’eau, il semble brisé. Ce qui s’explique par
le fait que l’air et l’eau qui sont de densité différente,
n’ont pas le même indice de réfraction.


Il en est de même dans le plan psychique
: plus les courants
du monde spirituel doivent descendre dans une matière dense,
plus ils subissent de déformations.

 Pour les recevoir dans leur
vérité, il faut pouvoir s’élever par la pensée jusqu’au
monde subtil où ils ont leur origine.

Un cerveau épais ne peut pas recevoir les messages du Ciel, ou plus exactement il les reçoit déformés: c’est lui qui les déforme. Faites donc des efforts pour vous purifier, vous dépouiller, vous
ennoblir
: alors seulement, vous recevrez du Ciel des réponses
claires, limpides, véridiques."

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

9 janvier 2013

Lettre à un ami des animaux.

 




C'est  un texte que j'ai trouvé dans une ancienne revue. Je l'ai trouvé magnifique, je m'y suis retrouvée de bien des façons et j'ai eu envie de le partager avec vous
Pris ici sur ce forum.

            Cher M.,

     Vous m'avez écrit pour me dire votre grande peine au sujet des souffrances des animaux. Nous sommes nombreux à ressentir le désir fervent de soulager les inutiles souffrances des bêtes et de mettre fin aux diverses formes de cruauté qui leur sont infligées par des humains ignorants, et par des hommes insensibles au cours d'expériences scientifiques, dans le fermage moderne, etc. Lorsque l'on entend parler de cruauté envers les bêtes, la première réaction est celle de la colère extrême devant l'atrocité des hommes qui osent offenser l'individualité, don de Dieu, d'une créature qui a droit à une existence joyeuse. On ne peut admettre que des méthodes qui ne s'accordent pas au Principe Chrétien puissent jamais produire un bien durable. Elles ne peuvent que créer de nouveaux problèmes, parce qu'elles n'ont pas leur source dans l'Amour divin, seul Principe fécond.

     Cependant, si tout notre penser est dominé continuellement par la souffrance des animaux, nous ne pouvons qu'accroître la somme de cette souffrance dans le monde et cela n'est point non plus Chrétien. Je pense qu'exprimer la douleur, la colère ou le ressentiment n'aide personne et qu'il faut que nous traduisons ces émotions en quelque chose de positif, de constructif quelque chose qui puisse être vraiment une aide.

     Je sais qu'il existe de nombreux organismes pour arrêter la cruauté envers les bêtes et que chacun doit faire ce qu'il se sent dirigé à accomplir en cette matière, mais avant tout, j'ai appris à être reconnaissant de ce que je sais qu'en Vérité, l'Amour prend soin de chaque créature, quelle que soit l'expérience qu'elle doit endurer. Je suis sûr que ce qui est sacré dans toute créature, sa conscience d'être individuelle « caché avec le Christ en Dieu ne peut être touchée par aucune intention mauvaise. Je me suis souvent dit :« Si l'amour n'aime pas à chaque instant chaque créature, il n'y a point d'Amour », mais au fond de mon cœur je sais que l'Amour existe et qu'il embrasse tous les êtres. Si je n'en vois point l'expression, c'est que je suis temporairement hypnotisé par une image mortelle complètement fausse, et qu'il faut que je permette à la Vérité de traduire cette image fausse si je veux aider ces créatures ici même et à présent à acquérir une réalisation plus complète de leur être véritable.

     Il fut un temps où je me sentais désarmé devant ces problèmes, parce que je ne comprenais pas comment une pensée individuelle pouvait avoir quelque effet sur ce qui se passe dans le monde qui nous entoure ; mais maintenant que je commence à comprendre plus clairement le rapport de chaque idée juste avec le Principe qui la gouverne, je comprends que le fait d'accepter toute idée qui procède de Dieu a des effets prolongés, des effets qui vont au-delà des limites de nos concepts actuels. Ainsi je vois l'importance de ne pas éluder le fond des choses en entretenant des sentiments d'incapacité, car ce n'est pas à nous de faire agir une idée. Notre part consiste à maintenir fermement cette idée, le Principe divin fera le reste.

     Lorsque, dans l'humilité, nous nous maintenons dans l'idée la plus haute que nous avons de Dieu, il nous est montré ce qui est vrai spirituellement dans la créature que nous voulons aider.
    Si, par exemple, nous voyons un oiseau blessé par un chat, nous pouvons réaliser que Dieu ne connaît pas d'oiseau blessé, mais seulement une conscience d'être spirituelle vive, qui manifeste la joie dans la liberté de son vol et par la douceur de son chant, assemblage unique de qualités spirituelles, et qui, dans son essence, est incorporelle, bien qu'elle apparaisse à notre vue limitée sous la forme d'une création de plumes et de chair.

     Si nous restons sur la vision mortelle, nous ne pouvons donner qu'une compassion inopérante, tandis que si nous portons notre regard sur l'expression véritable de l'oiseau, tel que Dieu le connaît, nous ne pouvons manquer de comprendre que les plumes et la chair ne peuvent être maîtresses de sa vie ni tourner en discorde l'harmonie. En réfléchissant aux moments où nous avons nous-même eu besoin d'aide pour surmonter un malaise physique, nous savons que lorsque quelqu'un a pu élever notre conscience d'être jusqu'à la réalisation de ce que Dieu nous connaît, nous avons été à même de répondre avec gratitude, alors que la compassion sans la vision juste nous aurait laissé déprimés et incapables de triompher de notre mal, ou de vaincre notre difficulté.

     A un moment donné, la vue de tant d'oiseaux tués sur les routes faillit détruire mon penchant naturel pour la conduite automobile, surtout tôt le matin lorsque les oiseaux sont pleins d'activité. Je redoutais qu'un oiseau ne s'élançât au-devant de ma voiture sans que je puisse l'éviter. Un matin, un petit moineau fonça soudain d'un arbre sur la route et fut frappé par le châssis de ma voiture. Il gît, immobile sur la route. Je le relevai et le tins dans mes mains, lui parlant silencieusement de sa nature divine - donnée par Dieu - et qui ne pouvait être blessée. A ma grande joie, il ouvrit les yeux et sembla répondre à la vérité de son être. Pendant un certain temps, il ne bougea pas, ouvrant et fermant seulement ses yeux. Je restais, moi aussi, tranquille, aimant à réfléchir sur son être réel et je me sentis élevé. Bientôt l'oiseau se mit à se mouvoir dans ma main. Puis il sauta de droite à gauche sur la voiture et enfin il s'envola dans les champs.

     Néanmoins, pendant des mois je demeurais dans l'angoisse ; je me demandais pourquoi les oiseaux volent bas en travers des routes alors qu'ils peuvent s'élancer hors du danger en volant haut. Puis, un jour, je compris l'inutilité de cette angoisse. Je me mis à réfléchir sur l'agilité spéciale que Dieu donne aux oiseaux, à leur habileté pour voler entre des branches serrées, pour changer rapidement leur course devant un obstacle inattendu. Depuis que j'ai consciemment rempli ma pensée de ces idées et de la vérité spirituelle qui est que tous les usagers de la route sont unis les uns aux autres par l'Amour, j'ai vu de nombreux oiseaux se retourner en plein vol pour éviter le trafic.

     En apprenant à monter à cheval, j'ai aussi appris l'importance de maintenir fermement dans mon esprit les rapports spirituels. Bien souvent, il m'est arrivé malheur lorsque je me suis permis d'entretenir la crainte que mon cheval se conduirait de manière à ce que je ne puisse le maintenir ! Mais quand j'ai réussi à surmonter de telles craintes en maintenant avec amour la vérité : qu'il n'y a qu'un seul Entendement et que le cheval et moi nous sommes des expressions de cet unique Entendement, unies dans l'harmonie, la promenade a été parfaite dans un rythme partagé. Cette sorte d'expérience m'aide à comprendre que lorsque nous demeurons conscients des réalités spirituelles de la vie, les facteurs négatifs décroissent de plus en plus pour disparaître finalement.

     Lorsque je réfléchis sur la nature véritable des hommes et des bêtes, j'aime à méditer la merveilleuse prophétie d'Esaïe :
     « Le loup habitera avec l'agneau, et la panthère se couchera avec le chevreau ; le veau, le lionceau, et le bétail qu'on engraisse seront ensemble, et un petit enfant les conduira... Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte ; car la terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent ».
     Je pense que nous pouvons tous devenir ce « petit enfant » en nous détournant de la douleur et de la crainte pour nous élever jusqu'à la « montagne sainte » d'une plus haute conscience d'être dans laquelle nous comprenons due Dieu a fait toutes les créatures afin qu'elles s'aiment et se bénissent. C'est cela la réalité :« l'aide toujours présente » .      Je sais que votre grand amour pour les animaux vous mènera à des découvertes plus profondes de l'intelligence et de la joie de leur être véritable.

                                                              Votre amie sincère, E.J.D.

                                                                                            Ideas of today
9 janvier 2013

C'est quoi un homme intelligent?

 

20080327_90





Dites-moi, qu'est-ce qu'un homme intelligent ?
demanda le Maître.

Un érudit, répondit l'élève.

Oui, mais pas uniquement un érudit, dit le Maître.

Alors un homme bon, dit l'élève
.
Oui, mais pas uniquement bon,
dit le Maître.

Un homme intelligent est un homme bon et érudit,
dit l'élève.

Tu n'y es pas, dit le Maître.
Un homme intelligent est donc un homme qui met du silence dans la voie !

Pourquoi ? demanda l'élève.

Grâce au silence, on peut écouter battre le coeur de l'harmonie infinie.

Où trouve-t-on des hommes ainsi ?
demanda l'élève.

Partout où on ne les voit pas, répondit le Maître.

Comment est-ce possible ???
demanda l'élève.


L'intelligence est banale comme le bonheur.


 L'exceptionnel est invisible comme le vent
.



auteur inconnu

7 janvier 2013

Rester inébranlable

bouddha

 

La louange et le blâme,
Le gain et la perte,
Le plaisir et la douleur,
La gloire et la honte
Sont les huit vents mondains
Qui vont et viennent.
Telle la montagne
Imperturbable face au vent,
Le coeur du sage
Reste inébranlable
Face à tout ce qui arrive.
(Bouddha)
L'esprit est difficile à maitriser et instable. Il court où il veut.
Il est bon de le dominer. L'esprit dompté assure le bonheur.
(Bouddha)
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6 janvier 2013

Pour être heureux

maison du nain

 

 

                                                                                   Il ne faut que des fleurs

Un filtre de soleil
Et quelques graines de bonheur, 
 

Le chant des oiseaux
Le toit d'une maison
Et la brise du vent
 

Pour être heureux. 

Il faut s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour
Se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher.

 Pour être heureux
Il faut regarder le ciel
En oubliant la terre
Fermer les yeux sur le passé
Pour les ouvrir sur le rêve..

 Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux.

 

Pour être heureux
Entre nous… il nous faut si peu!

 Auteur inconnu

5 janvier 2013

Bonheur

amitié refait

4 janvier 2013

Un conte symbolique

"Nous allons vous allons vous conter une petite histoire, celle d’un adolescent et de son père.

Cet adolescent est extrêmement curieux. Il pose toujours des questions à son père qui lui répond du mieux possible. Cependant ce père est un grand sage, il a la Connaissance, et il sait que certaines réponses génèrent des actions, des réactions, et qu’elles ne doivent pas être données à son fils. Chaque jour, l’adolescent lui dit :
 Père, je voudrais savoir, je voudrais comprendre.

Je voudrais savoir tout ce qui est caché, je voudrais savoir tout ce qui se passe dans l’Univers, pourquoi je suis ici, pourquoi j’agis de telle ou telle façon, pourquoi, dans le ciel, brillent les étoiles. Père, je voudrais savoir pourquoi je ne vole pas comme les oiseaux, pourquoi je ne nage pas comme les poissons.

Le père répond :
 Cher enfant, tu sauras tout cela et bien plus encore ! Seulement tu dois apprendre petit à petit, car si je te disais tout d’un seul coup tu éprouverais une immense souffrance.

L’adolescent lui dit :
 Oh non, père, je suis trop curieux ! Je veux trop savoir ! J’ai hâte de tout connaître ! Je n’en souffrirai pas ! Bien au contraire, je serai tellement heureux !

Le père continue à lui dire :
Mon cher enfant, je te donnerai en fonction de ce que tu peux comprendre, de ce que tu peux assimiler. Je ne peux pas encore lever le voile qui te révèlera la vérité de ce monde.

L’enfant, qui est têtu, demande tous les jours à son père :
 Papa, je t’assure que je peux, je suis courageux, je veux apprendre, je veux savoir pourquoi les oiseaux volent, pourquoi les poissons nagent, je veux savoir pourquoi il y a des étoiles dans le ciel, je veux savoir pourquoi je ne vole pas !

Le père a toujours beaucoup de patience et lui dit :
Attends encore un peu, tu n’es pas assez grand, tu n’es pas assez sage !

L’enfant têtu continue tous les jours à poser des questions à son père. Alors un jour le père décide de soulever un tout petit peu du voile et il dit à son fils :
 Tu sais, pour répondre à tes interrogations permanentes, à ton grand vouloir de connaissance, je vais simplement lever un tout petit coin du voile qui, pour l’instant, obscurcit ta conscience, mais lorsque tu verras, ne me reproche rien. Tu as eu la volonté d’avancer, la volonté de comprendre, la volonté de savoir, maintenant que tu en assumes la responsabilité et les effets que cela pourra avoir sur toi.

L’enfant est fou de joie. Il remercie très grandement son père.
 Il dit :
 Père, je suis prêt pour connaître, pour savoir.

A ce moment-là, le père soulève un tout petit peu le voile, et l’enfant est totalement terrifié de voir ce qu’il voit, mais ce n’est pas de la peur. Il se dit : Ce qui me fait tellement souffrir c’est que je ne pourrai jamais comprendre le millième de tout ce que mon père me montre ! Je comprends maintenant ! Je vois une trop grande Lumière, je vois ce que je ne peux comprendre et analyser.

Je perçois l’Univers, je perçois un Amour que je ne peux même pas décrire et cela fait mal à ma conscience et à mon corps de matière, parce qu’il y a un déchirement entre mes vibrations, qui sont encore tellement fragiles, entre ma toute petite connaissance, parce que je suis endormi, et cette immense connaissance, cette immense Lumière et cet immense Amour.

Son père lui dit :
Tu vois, mon enfant, une trop grande Lumière, une trop grande connaissance, un trop grand Amour peuvent créer une immense souffrance pour les êtres qui ne sont pas encore prêts à comprendre, à intégrer, à recevoir.

Lorsque tu auras grandi, lorsque tu te seras affirmé dans ce que tu es réellement, je soulèverai de nouveau le voile, et à ce moment-là tu n’éprouveras pas une grande souffrance que tu éprouveras mais une immense joie, parce que tu comprendras tout, parce que tu intègreras tout, parce que la connaissance qui est au fond de toi-même se sera révélée.

Vois-tu cher enfant, il ne faut pas aller trop vite, parce qu’en voulant aller trop vite, en ouvrant trop grandes les portes sur ce que tu appelles la connaissance, tu peux apporter une grande souffrance aux êtres qui ne sont pas encore prêts.

L’enfant répond à son père :
Oh père ! Je comprends que même lorsqu’on est enfant il faut avoir de la patience, qu’il faut avoir du courage, qu’il faut avoir de la volonté et que tout s’apprend, que tout s’intègre mais qu’il faut le faire à son rythme. Je comprends, père, que j’ai été quelque peu inconséquent, que j’ai voulu aller trop vite et que je n’étais pas prêt.

Maintenant je travaillerai auprès de toi pour grandir dans cette conscience spirituelle, dans cette connaissance de moi-même, dans cette connaissance de l’Univers, et je sais que je n’aurai plus beaucoup de questions à te poser parce que je saurai. J’aurai trouvé les réponses en moi. A ce moment-là, père, je te demanderai simplement de m’accompagner sur le chemin, et j’atteindrai la Lumière et la Connaissance lorsque je serai prêt.


Et le père de dire :
 Mon enfant, je suis heureux parce que tu as compris ce qu’est réellement l’évolution. Cependant, sois toujours curieux, interroge-toi, interroge la vie, mais ne vas pas trop vite ! C’est en étant curieux que l’on avance, c’est en s’interrogeant en permanence que l’on avance, c’est en regardant la vie s’ouvrir autour de soi que l’on avance !

Le père lui dit aussi :
 Tout ce qui est autour de toi, tout ce que tu perçois, tout ce que tu ressens, les échanges que tu peux avoir avec tes frères et avec tous les êtres qui t’entourent, les échanges avec les divers règnes, font partie de la Connaissance.

Voilà ce que nous voulions vous raconter ce soir. Bien évidemment c’est un conte symbolique, mais dans de ce que nous vous avons dit, il y a une très grande vérité. Vous êtes des chercheurs de Lumières, vous devez chercher mais aussi ne pas brûler les étapes. Vous devez avancer en sécurité afin que vous ne puissiez absolument pas chuter dans votre recherche, dans vos démarches. »



Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

* qu'il ne soit pas coupé
* qu'il n'y ait aucune modification de contenu
* que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
* que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

 

 

 

 

 

 

4 janvier 2013

L'amitié

l-amitie

3 janvier 2013

Une prière...éfficace

22022012-172-0

 

 

 

"Il est difficile de s’améliorer, et quelquefois vous trouvez
que les résultats ne répondent pas à vos efforts. Mais est-ce
que vous employez bien les méthodes que je vous donne ? Ces
méthodes sont nombreuses, mais aujourd’hui je me contenterai
de vous en rappeler au moins une.

 Adressez-vous au Ciel, et
dites-lui :

« Maintenant, j’ai compris : il n’y a rien à
faire avec ma nature inférieure. Elle est têtue, coriace, je
n’arriverai jamais à la changer. Oui, après tant d’années
perdues, j’ai enfin compris, ô Esprits célestes, que je ne
tirerai rien d’elle : elle est limitée, aveugle, malfaisante.
Alors voilà, pour la remplacer envoyez-moi les entités les plus
pures, les plus parfaites. Que ces entités viennent habiter en
moi, qu’elles me guident, m’instruisent et prennent la
direction de toute ma vie, afin que j’arrive à réaliser vos
desseins, même malgré moi. »

 
Voilà une des meilleures prières qui soient au monde et, si
vous la faites chaque jour sincèrement, vous ne pourrez pas ne
pas en sentir les bons résultats."

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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